Aujourd’hui, la Basse-cour a l’honneur d’accueillir une guest-star, et pas n’importe qui : la Mère Joie. Pour ceux qui n’auraient pas l’heur de la connaître, c’est une des rares blogueuses capables de balancer avec le même talent des vannes graveleuses, des réflexions personnelles touchantes et des dossiers hyper fouillés (voir la fessée et l’allaitement, à lire !). Donc quand j’ai vu sur Twitter qu’elle était en train de lire Bien vivre l’allaitement, un des livres que, par le blog alléchée, je convoite depuis quelque temps déjà , ni une ni deux, j’ai proposé à la Mère joie (les intimes disent LMJ) de faire une fiche de lecture et de la publier chez moi (observez la feinte de la blogueuse feignasse qui s’économise 1. de lire le livre et 2. de faire un billet récapitulatif). Et figurez-vous que non seulement elle ne m’a pas traitée de grosse sangsue parasite mais qu’elle a accepté. Et comme Mme Déjantée qui passait par là n’a pas les yeux dans la poche, on a convenu d’en faire en prime une participation aux Vendredis Intellos. Bref, un grand merci à LMJ, qui publie sur son blog une interview de Madeleine Allard et Annie Desrochers, les auteures du livre. Place donc à la Mère joie !
Deux mères québécoises de quatre enfants chacune se sont penchées durant cinq ans sur le « phénomène bio-culturel par excellence » qu’est l’allaitement et ses multiples facettes.
« Il n’est pas si simple de parler d’allaitement. Il ne suffit pas d’énoncer qu’il représente le meilleur choix. Allaiter est avant tout un geste intime qui demande ouverture et engagement. Pour cette raison, il faut en parler avec empathie et délicatesse » donne de suite la clef pour percevoir la force de l’ouvrage.
Bien vivre l’allaitement de Madeleine Allard et Annie Desrochers aux éditions Hurtubise est le livre que j’aurais aimé écrire sur l’allaitement. D’un ton totalement bienveillant, il ne s’adresse pas qu’aux femmes qui sont en train d’allaiter ou souhaitent allaiter : il est à remettre entre les mains d’un plus large public. Comme le précisent effectivement les auteures « Allaiter est bien plus que nourrir un bébé, c’est un geste social partagé avec d’autres. ».
Ultra documenté, construit impeccablement, il relève avec brio le défi de :
– Fournir sans jamais être ronflant des outils, des données techniques exhaustives telles que des positions pour allaiter et remédier à des situations précises, tirer le lait manuellement, reconnaître la succion efficace. Tous les maux ou les inquiétudes qui peuvent jalonner un parcours d’allaitement y sont aussi décrits ainsi que leurs solutions.
– Indiquer quelques règles biologiques / physiologiques (dont on oublierait presque l’évidence) aide-mémoire « Sein plein = fabrication du lait ralentie ; sein vide = fabrication du lait accélérée », « Toute la lactation repose sur une prise efficace du sein », allant jusqu’à utiliser des comparaisons judicieuses pour imager leur discours.
– Aborder toutes les particularités de l’allaitement de la relactation à l’allaitement en tandem.
– Inviter à la réflexion sur l’allaitement en posant des questions pertinentes. Il y a notamment un passage très intéressant sur l’allaitement des femmes ayant un problème avec la drogue, sur le deuil de l’allaitement ou sur la portée symbolique sacrée du lait.
Le lecteur (mot volontairement laissé au masculin) interrogé est rendu acteur mais n’est pas laissé seul sans réponse face à lui-même puisqu’il est rassuré en parallèle par des explications pointues pourtant très accessibles. Il ne s’agit pas par exemple de citer que le colostrum et le lait mature sont bons comme une sorte de miracle humain (« Le lait n’a rien de miraculeux ») mais bien d’en définir les propriétés réelles ; ce qui favorise véritablement un choix éclairé par rapport à la façon de nourrir son enfant. Le lecteur a alors les éléments pour mener son propre cheminement, pour remettre en cause ses opinions préconçues et analyser ses expériences antérieures à la lueur de nouvelles données.
Madeleine Allard et Annie Desrochers coupent court aux mythes comme celui du bébé allaité qui n’a pas de coliques (à l’inverse est étudiée l’importance des coliques dans l’allaitement), de l’inévitable confusion sein / tétine, de la perte de poids liée à l’allaitement « L’allaitement n’a pas de vertus magiques et il n’est pas à lui seul le régime amaigrissant rêvé. »… Elles n’essaient pas de nous vendre de l’allaitement à tout prix et du rêve mais posent les réalités de l’allaitement pour que chaque mère puisse créer l’allaitement qui lui ressemble, qui a du sens pour elle ; puisse évaluer si son allaitement va bien (ce qui est normal, ce qui est « pathologique ») et vivre un allaitement souple pour plus de sérénité. Et malgré les embûches soulevées, le livre donne fortement envie d’allaiter ! Peut-être parce que nous nous savons immédiatement entre de bonnes mains, accompagnées par deux amies ne cherchant pas à nous soustraire notre libre arbitre…
Des mots très justes sont également mis sur ce que peuvent ressentir des femmes commençant à allaiter, rencontrant des difficultés d’allaitement, ou sevrant leur bébé, etc. Il n’y a aucun préjugé et les témoignages illustrant certains passages à caractère plus personnel renforcent ce sentiment d’écoute active de la part des auteures. Il y a spécialement dans la partie 4 intitulée La mère des mots déculpabilisants et salvateurs – qui seront en mesure d’apaiser les mamans avec un sentiment d’échec concernant leur(s) allaitement(s) – tels que « Le succès d’un allaitement devrait d’abord se mesurer par ce qu’il apporte à ceux qui en font l’expérience avant d’être noté sur la quantité de lait donné, le temps passé ou la façon de sevrer son bébé. Chacune a le pouvoir de définir sa propre relation d’allaitement et de décider ce qui constitue, pour elle, un allaitement réussi, de la première tétée au sevrage ».
Bien vivre l’allaitement est une véritable bible de l’allaitement (pour s’en convaincre, il suffit de jeter un coup d’oeil au sommaire) qui donne enfin toute sa place au sevrage « Le sevrage n’est pas en opposition avec l’allaitement. Il n’est pas une négation de tout ce que l’allaitement représente. Il en fait partie. C’est l’un des deux pôles de l’allaitement. ». Il ne lui manque plus qu’une adaptation française pour parfaire nos études sur les problématiques d’allaitement outre-Atlantique.
NDLPP : En attendant, vous pouvez discuter avec les auteures sur Twitter en suivant @BVAllaitement
Tags: Annie Desrochers, Bien vivre l'allaitement, Madeleine Allard
@Izz, Bon j’avais commencé une réponse tout à l’heure, j’ai du partir au boulot… Je la remets malgré les redondances avec les autres 😉
pas de problème, j’adore le pâté
En reprenant le fil de ton témoignage : le rythme de tétées de ton fils avant l’introduction des bibs, quoique sans doute éprouvant pour toi, ne me semble pas pathologique en lui-même. Cependant, le fait qu’il passe autant de temps au sein peut signifier qu’il a une mauvaise position pour téter et donc a du mal à obtenir sa ration, ou simplement un fort besoin de succion. Les quantités que ton enfant prend au biberon et en fruits/légumes correspondent à peu près à celles d’un enfant non allaité. Cela concorde bien avec la tétée câlin/endormissement plus vraiment nutritive.
Attention, ne doute jamais de la qualité de ton lait : elle est parfaitement adaptée à ton bébé, le « mauvais » lait pas assez nourrissant ça n’existe pas. La seule chose qui peut varier c’est la quantité, qui dépend principalement de la stimulation du bébé. A te lire, il semblerait qu’au moins avant l’introduction des biberons le rythme de tétées ne soit pas à mettre en cause (loin de là 😉 ) donc l’hypothèse la plus probable serait une mauvaise prise du sein. Ces derniers temps s’il te pince et tire dessus c’est clairement pas la meilleure façon de stimuler ta production.
A ce stade, comme ton bébé voit ses besoins alimentaires à peu près comblés par les biberons, il n’a probablement pas de raison de faire « l’effort » (c’est un peu plus difficile de téter un sein qu’un biberon) de faire venir du lait quand il tète, et il s’impatiente qu’il n’en vienne pas assez. Pour ma part, je vois deux grandes options :
– soit tu veux que ton lait redevienne une part plus importante de la nourriture de ton fils et alors il faut faire vérifier la position de bébé au sein par une pro (sage-femme, consultante, assoc de soutien) et supprimer des biberons pour qu’il prenne de plus en plus au sein et relancer ta lactation (ne donner de biberons qu’en ton absence, voire donner le lait par un autre moyen : tasse à bec, paille etc pour éviter une confusion sein-tétine)
– soit tu gardes la situation telle quelle, sachant qu’il n’y a pas de tétée inutile ou égoïste. Ton fils a forcément au moins un peu de ton lait, et surtout le câlin et le moment privilégié que vous passez. Mais il y a un « risque » non négligeable qu’il finisse par s’arrêter complètement de téter à terme. Tu peux profiter de cette période pour t’y préparer en douceur 😉 (et qui sait, peut-être qu’il s’accrochera à ces dernières tétées longtemps ?)
Pour ma part quand j’ai sevré Pouss1 (il était un peu plus jeune que ton fils), on a commencé à remplacer les tétées par des biberons et quand il n’en restait plus qu’une, au bout d’un moment j’ai fini par la laisser tomber, sentant qu’il avait du mal à obtenir sa ration (j’en ai parlé plus en détail ici http://www.poule-pondeuse.fr/2008/03/27/sevrage-et-allaitement-mixte/)
Voilà un peu ce que cela m’évoque, en fonction des éléments que tu nous donnes et de mon expérience, forcément limitée, bien sûr tu prends ce qui te parle et tu laisses le reste 🙂
@soleil-, ce n’est pas au bout de 3 ou 4 heures (ce qui est le cas après un bib) mais au bout de 3/4 (= trois-quart) d’heure. Le truc c’est que c’est très variable, quand il va chez la nounou, elle arrive à le faire patienter jusqu’à une petite heure après la tétée et ce we il a réussi à tenir presque 2h…
Je te remercie en tout cas de ton avis, j’ai tendance à penser comme toi… que toute tétée est bonne à prendre, même si ce n’est pas suffisant au niveau alimentaire, au moins pour le côté câlin, rassurant. Il ne prend ni tétine, ni pouce.
@La poule pondeuse, Merci la Poule pour ta vision des choses. En fait, le début de l’allaitement a été difficile car j’avais des tétons plats et lui une gencive très épaisse. J’ai donc été beaucoup coaché par la consultante en lactation de la mater pour la mise au sein avec un bout de sein, elle m’a montré comment le positionné et comment lui tenir la tête d’une certaine manière pour lui permettre d’ouvrir plus grand et prendre correctement. J’ai ensuite été suivi à domicile pour une SF libérale qui m’a dit que c’était bon… donc je pense que la position est ok. Avec la croissance, il a fini par prendre sans le bout de sein et même maintenant, quand il tête calmement, je l’entend parfaitement déglutir et là je sais que j’ai du lait… c’est surtout au bout de 7-8 min qu’il commence à s’agacer comme si plus rien ne venait. Je change donc de sein et c’est pareil, il boit très bien et au bout de 5min, il s’agite. J’ai donc l’impression que je n’en ai pas assez.
Mais, tu as sans doute raison, ça doit aller tant qu’il est dans la réserve du matin mais il n’est plus assez patient pour fournir l’effort pour « tirer » ensuite en production instantané…
L’autre jour j’ai essayé de ne pas lâcher le morceaux justement pour stimuler les seins au max et éviter le bib du soir…mais il me faisait vraiment mal, se tortillait, grognait et à finit par se mettre à hurler… dur dur :/
@Stéphanie, Merci pour ton commentaire. Le tire-lait n’est pas mon amis… je l’ai beaucoup utilisé quand j’allaitais en exclusif pour vider mes seins le soir, sous peine de débordement systématique au matin et pourtant je n’arrivais qu’à sortir 60ml du sein droit et quasi rien du gauche (20ml ^^). Même le matin au mieux de ma lactation, alors que mes réserves étaient au max, je n’arrivais jamais à sortir plus de 100ml… pas assez pour un bib :/.
J’essaye de prendre systématiquement une tisane d’allaitement le soir…
@Izz,
Je ne me désintéresse pas, je suis les échanges avec attention. 😉
@Izz, eh bien quel parcours tu as déjà fait ! Tant mieux si la position est bonne car ça peut être vraiment douloureux sinon. Plusieurs petites tétées, un peu espacées, peuvent être plus efficace qu’une très longue pour stimuler la lactation. Il est possible que la situation s’explique par une combinaison de facteurs comme bébé qui a l’habitude du bib où ça vient tout seul et deux tétées par 24 h qui ne suffisent pas à entretenir ta lactation (on préconise souvent un minimum de trois : quand on travaille, ça fait matin, retrouvailles et soir en gros). Peut-être (je réfléchis en écrivant…) que de le faire goûter chez la nounou avec un petit pot sans biberon et de lui proposer une tétée dès vos retrouvailles puis une autre au moment du coucher permettrait de diminuer un peu les bibs et de mieux réguler ta lactation ? La diversification pourrait permettre de le rassasier un peu pour qu’il soit plus patient au sein. C’est vraiment une idée comme ça, peut-être pas du tout adaptée à votre cas. J’espère en tout cas que ces discussions et témoignages t’aideront à voir un peu plus clair dans ce dont tu as envie ou pas et sur la façon dont vous pourriez y parvenir.
Enfin j’ai pu lire ce billet. Et je suis pas mécontente 🙂 Livre noté pour le prochain allaitement. cela me fait chaud au coeur de voir cette entraide entre femme, pour être informée justement sur l’allaitement, si « naturel » et pourtant pas si « évident ».
Comme Kki, je note ce livre pour un prochain allaitement.
J’avais acheté celui de la LLL (« L’art de l’allaitement maternel »), j’en ai été un peu déçue même s’il est très complet…
@Izz, j’ai eu un peu le même parcours, mais avec un allaitement mixte qui a dû démarrer vers les 6 semaines (60 ml/jour de lait maternisé au début, donné avec un bib équipé d’une tétine Calma de Medela), et j’avais beau tirer mon lait à la reprise du travail (1 x vers 10h, 1x vers 14h) et essayer de relancer la lactation, j’ai vraiment eu l’impression que la source se tarissait… je donnais le sein le matin (puis un complément), vers 18h, et à 20h (puis un complément), trois bons quarts d’heure à la fois, et comme toi, mon loustic commençait à téter, mais n’obtenait plus les quantités qui le contentaient… J’ai fait tout ce qu’une consultante en allaitement m’avait conseillé pour relancer la lactation, puis j’ai arrêté, un peu la mort dans l’âme, à 5 mois: il tétait, hurlait, puis s’arrêtait et me regardait l’air de dire « t’as rien d’autre à me donner, m’man? ». Avec le recul, j’aurais peut-être dû avancer un peu la diversification, ça aurait permis de prolonger un peu l’allaitement…
Ceci dit, si tu veux encore un peu l’allaiter, je crois comme la Poule que ça passe par la suppression des bibs au profit de la paille/tasse à bec, et un nécessaire gros coup de fouet pour relancer la lactation (une consultante en lactation pourra t’aiguiller sur quelque chose de plus costaud que les simples tisanes).
Tu m’as donné envie de le lire ce livre. Je le rajoute à mon longue liste de bouquins passionnants que je lirais quand j’aurais enfin un peu de temps pour moi.
Ah là là, j’assure mal la gestion après-billet !
Mais je vous lis, hein !
@Izz,
voici quelques sites utiles:
(peut-être que tu connais déjà, mais mieux vaut 2 fois qu’une)
http://forum.lllfrance.org/forum.php
http://www.lactissima.com/blog/
tu peux y lire plein d’infos utiles, et surtout, poser des questions.
Bon courage !!!
@Izz, Bonjour Izz, je ne vais pas y aller de mes conseils car la PP t’a répondu de façon très pertinente ; je voudrais juste que tu n’oublie pas (ou que tu l’apprenne, moi je l’ai su à mon 2ème allaitement !) que vers 6 mois (parfois un peu avant ou après) il y a un « pic » de croissance comme celui qui arrive à 3 semaines et à 3 mois. Ce pic désorganise un peu l’allaitement, on a l’impression que bb s’emballe en tétant tout le temps et que plus rien ne marche, mais ça aussi… ça passe ! Ma 2ème fille n’a jamais tété plus de 10′ d’affilée, contrairement à la 1ère qui pouvait rester 2h au sein sans problème. Nourris ton bb comme tu le sens de façon à te destresser, et garde le meilleur pour vous faire plaisir : les tétées « câlin » sont aussi essentielles que les autres.
Je n’ai pas lu ce livre (mes 2 filles ne sont plus allaitées), mais je pense qu’il m’aurait été fort utile à l’époque, car je naviguais entre le Marie Thirion (trop technique et pas assez de conseils sur le rythme, la durée, les cycles de croissance de bb) et la Leche League sur internet, où je me perdais un peu. C’est une sage-femme polonaise qui m’a donné les conseils les plus judicieux pour ma 2ème, lors des séances post-accouchements. Et même si mes 2 allaitements sont chacun passés par des débuts difficiles (douloureux !), je recommencerais pour un 3ème… s’il y en a un.
@La poule pondeuse, oui 2 tétées, ça fait juste, ma SF m’avait prévenu en me conseillant de tirer mon lait 1 fois dans la journée, mais comme je l’ai dit plus bas, le tire-lait n’est pas très efficace avec moi :/ mais vous avez raison, je devrais essayer quand même. Pour le bib de 16h, ça me parait difficile de le zapper parce que je ne le récupère qu’à 18h donc ça fait trop long depuis 12h :/ Merci en tout cas de toutes ces pistes, je vais voir si je peux multiplier les tétées sur le we déjà. Mais bon, ça fait 2-3 jours que ça se passent plutôt bien et hier soir pour la première fois il a eu une petite crise quelques heures après avoir été couché… et c’était un bonheur de pouvoir lui donner le sein, de le voir boire de manière calme et satisfaisante et de l’observer se rendormir contre moi tranquillement… rien que pour ça j’ai pas envie de lâcher !! ^^
@didi1504, En plus costaud que les simples tisanes, il y a le motilium. C’est un médicament pour l’estomac donc l’effet secondaire est de faire sécréter de la prolactine, donc du lait. Super efficace. On m’en avait prescrit après que j’ai été très deshydratée (impossible de faire remonter ma lactation malgré tous mes efforts). Le seul inconvénient est qu’il est un peu difficile de s’en sevrer.
Bonjour,
Nous venons de parcourir votre blog, La basse cour de la poule pondeuse, que nous avons beaucoup apprécié. Nous aimerions ainsi vous inviter à vous joindre à nous, et plus exactement à devenir rédacteur sur CareVox, premier site participatif dédié aux actualités de santé.
La particularité de CareVox est de permettre aux professionnels, mais également aux passionnés de tout bord par les thématiques de santé, de faire part de leurs préoccupations médicales dans leur domaine de prédilection, dans la limite de l’exactitude scientifique dont CareVox se veut le garant.
A la lecture de vos écrits, nous sommes convaincus que de nombreux lecteurs de CareVox aimeraient vous connaître davantage, s’informer et tirer parti de votre expérience, de vos conseils et de vos réflexions sur les thématiques ayant trait au milieu de la santé.
Nous sommes heureux de notre côté de pouvoir vous offrir la tribune de CareVox pour vous permettre d’intéresser un large public à vos développements. Les articles sont évidemment relus et corrigés par un comité de rédaction.
Sur CareVox vous côtoierez des passionnés, comme vous, par la santé et le bien-être. Vous pouvez vous inscrire dès maintenant ou nous faire part de vos questions et remarques éventuelles. Vous pouvez compter sur nous, et nous vous renseignerons avec plaisir.
Dans l’attente de votre réaction, et bien cordialement,
L’équipe de rédaction de CareVox
http://www.carevox.fr
redacteurs@carevox.fr
[…] un simple état des lieux du livre de par mes questions ; j’allais en faire une critique chez La poule pondeuse. Le but n’était pas non plus de faire une publicité grossière à cet ouvrage fabuleux en […]
@LPP bonjour,
suite de samedi dernier: je n’ai pas eu trop de mal à espacer les tétées le week-end dernier, nous sommes beaucoup sortis. J’ai quand meme du lui donner le sein 1 fois samedi après midi dans un parc et une fois dimanche dans la voiture cette fois -ci. Je me rends compte que c’est quand même plus facile pour moi de lui donner le sein quand il en a envie que d’essayer de trouver mille et une astuces pour le faire attendre.
sinon j’attends toujours mon livre, la commande serait partie mardi.
[…] pourrez lire ici la critique du livre faite par La Mère joie sur le blogue de la Poule Pondeuse. Extraits: Bien […]
@merylafourmis, hé hé oui je comprends. J’espère que vous allez comme ça trouver un équilibre qui vous convient à tous les deux !
@La rédaction de CareVox, bonjour. Je vous remercie pour votre proposition mais je crois vous avoir déjà répondu que je n’étais pas intéressée. Par ailleurs je trouve étrange cette façon de proposer en commentaires, il y a un formulaire de contact accessible en cliquant sur le tél/@ en haut à droite.
[…] ce que j’ai ressenti aussi en lisant le livre Bien vivre l’allaitement (critique ici) de Madeleine Allard et Annie Desrochers et en échangeant avec elles. Elle m’a donc […]
Le livre de Marie Thirion m’avait personnellement beaucoup plu, et je note celui-ci pour les suivants (hmmm!) et pour donner la référence (en plus de celle de ce blog) aux 3 femmes enceintes de ma famille!!! (oui, 3 à la fois, plus 1 fin novembre dernier… J’arrête pas avec les aiguilles à tricoter – je tricote les cadeaux de naissance)
[…] La Poule Pondeuse fait d’une pierre les 400 coups (si si, c’est ça l’expression) en nous donnant une fiche de lecture de la Mère Joie (dont je suis une fan inconditionnelle!) sur un livre parlant de l’allaitement. Et elle donne envie de le lire même quand on n’allaite pas, c’est peu dire…Parce qu’« Allaiter est bien plus que nourrir un bébé, c’est un geste social partagé avec d’autres. » La mère Joie nous parle notamment du sevrage, comme un des deux pôles de l’allaitement. Sevrer, ce n’est en effet pas faire le deuil de son allaitement, mais mener son enfant vers autre chose, et par là même déjà l’aider à acquérir une nouvelle forme d’autonomie. […]