Comme promis dans le billet précédent, et pour continuer avec les aventures palpitantes de l’Oeuf alias Pouss2, voici quelques infos sur le retour précoce (voire ultra-précoce ?) de la maternité. Je vous rassure, c’est beaucoup plus cool que l’épisode précédent. Pour ceux qui ont raté le début, Pouss2 est né au petit matin et nous avons quitté la clinique avant 16 heures. A dire vrai on serait bien partis plus tôt mais nous avions l’opportunité d’avoir la visite pédiatrique obligatoire des 7 jours dans la foulée donc on y a passé quelques heures de plus (cette visite peut être signée par une sage-femme mais elle comme nous préférions que Pouss2 soit quand même vu par un médecin). Et on en avait déjà marre : alors qu’on n’était même pas dans une vraie chambre mais planqués dans une salle de pré-travail, on a quand même été réveillés trois ou quatre fois par des visites pas super intéressantes (« oui bonjour c’est juste pour vous dire que finalement le pédiatre passera dans une heure »).
Concrètement, il faut remplir plusieurs conditions pour être libéré de la maternité rapidement. La première est bien sûr que l’accouchement se soit bien passé et que la mère et le bébé aillent bien. Le poids de naissance important de Pouss2 lui a valu une dextro peu après la naissance, qui s’est avérée excellente et a permis d’obtenir l’aval du pédiatre pour partir. Ensuite il faut trouver une sage-femme libérale qui assure le suivi à domicile. Pour nous, facile, c’est celle qui accompagne la grossesse depuis le début. Enfin, la mère doit être délivrée des tâches ménagères pour une durée au moins égale à celle qu’elle aurait passé à la maternité. Pour ce dernier point, c’est en général le père qui s’y colle mais selon les configurations familiales cela peut être quelqu’un d’autre. Chez nous, le Coq a carrément pris trois semaines de congé car nous devons déménager dans la foulée. Donc entre deux lessives il fait les cartons…
Pour le suivi médical, il est modulé en fonction des besoins. Notre sage-femme est passée deux fois, le lendemain du retour puis deux jours plus tard. Elle s’assure de la bonne santé physique et morale de la mère et du bébé, tout comme à la maternité. Pour la mère : évolution de l’utérus, problèmes éventuels avec l’allaitement, débriefing sur l’accouchement… Pour le bébé : examen et auscultation, pesée (ou pas, selon la situation), test de Guthrie, vérification de la fermeture du canal artériel… En cas d’urgence ou de problème inopiné, on peut bien sûr la joindre à tout moment (comme pour l’accouchement). Notre sage-femme étant au sein d’un groupe avec d’autres sages-femmes libérales, nous avons aussi la possibilité d’en appeler une autre si par hasard elle n’était pas disponible. Cette organisation est particulière mais il n’est pas rare que les sages-femmes libérales soient associées à deux ou trois. Enfin en cas de gros pépin on peut toujours filer aux urgences (habitant Paris ce n’est jamais bien loin) ou appeler le SAMU bien sûr.
Côté administratif, c’est le Coq qui est allé déclarer Pouss2 à la mairie le lendemain ; l’avantage c’est qu’au moins c’est lui qui apparaît sur l’extrait de naissance et pas le nom d’un obscur employé de l’hôpital que ni nous ni Pouss2 n’avons jamais vu. On peut aussi noter que la formule est plutôt économique pour la Sécu qui jusqu’ici a deux visites de sage-femme à rembourser plutôt que deux ou trois jours d’hospitalisation.
En ce qui nous concerne (et je dis « nous » car sur ce point le Coq est aussi moteur que moi), le choix est sans aucun regret : on est vraiment mieux à la maison. Moi je peux me caler au mieux sur les rythmes du sommeil de Pouss2 et personne ne vient interrompre ma grasse matinée pour me demander à quelle heure il a tété cette nuit (je sais plus, je n’ouvre qu’un œil pour lui mettre le sein en face de la bouche) ou me tirer sur le téton pour être sûr qu’il y a vraiment du lait dedans. Je mange ce dont j’ai envie à l’heure où ça me convient. Je ne suis pas confinée au lit dans une petite chambre un peu étouffante (certes il faut se reposer mais de là à être 24h/24 alitée… pas indispensable quand l’accouchement s’est bien passé). J’ai toutes les affaires dont j’ai besoin à portée de main. Le Coq aurait du choisir entre passer du temps avec Pouss2 et moi et s’occuper de Pouss1, sans compter les temps de trajet (40 minutes de métro dans chaque sens) ; quant à Pouss1 il aurait peu vu sa mère pendant quelques jours (voire même pas du tout avec l’interdiction des visites due à la grippe A ?). Sans compter qu’on n’a plus de nounou donc ç’aurait été une galère de plus pour s’organiser pendant les visites du Coq. Je pense que ça tamponne un peu le choc de l’arrivée du petit frère puisque pour le moment ça veut dire rester avec papa ET maman à la maison. Et je trouve ça aussi plus agréable pour les visites que la petite chambre où on ne sait pas où s’asseoir (vu que le père a déjà pris le magnifique fauteuil en skaï authentique).
On voit aussi que c’est un deuxième, on est plus relax pour s’en occuper. En ce qui me concerne j’ai compris après Pouss1 que le bébé « de base » veut tout le temps téter et jamais dormir dans son couffin, donc je m’émerveille à chaque sieste que Pouss2 fait dans son transat. L’allaitement également est plus simple, je gère et je vis beaucoup mieux les petites difficultés puisque ce sont plus ou moins les mêmes que pour Pouss1. C’est vrai que pour Pouss1 je ne sais pas si j’aurais pu rentrer si vite, pour le premier on a souvent moins confiance en soi et en ses capacités à s’occuper d’un tout petit. Mais maintenant non seulement le Coq et moi sommes sereins sur ce point mais je sais également qu’autant ça ne me pose aucun problème de « lâcher » mon bébé pour que son père s’en occupe (« Chériiiiii, je crois qu’il a fait cacaaaaaa »), autant le laisser à une auxiliaire de puériculture que je ne connais pas, j’ai beaucoup de mal. Donc sur ce point-là aussi je me repose mieux (par contre le Coq…).
En bref je ne regrette absolument pas d’avoir choisi l’accompagnement global, notamment pour ce volet. Pour celles qui souhaitent une solution moins « extrême », vous pouvez négocier de rentrer après 24 ou 48 heures et demander une hospitalisation à domicile (HAD) avec suivi par une sage-femme libérale (de votre choix ou proposée par la maternité). Il faut savoir que les visites de cette sage-femme sont remboursées à 100% par la sécu (je n’arrive pas à retrouver combien et dans quel délai après la naissance mais la sage-femme pourra vous le dire) et à mon avis on aurait tort de s’en priver. C’est d’autant plus précieux si on allaite car ces sages-femmes sont généralement bien au point sur le sujet ; globalement cela permet d’avoir des conseils et des idées sur mesure pour votre famille dans votre maison. J’avais pris cette option pour Pouss1 et vraiment je ne l’ai pas regretté.
A plus long terme, je ferai la visite post-natale des six semaines avec notre sage-femme (plutôt que chez ma gynéco par exemple) : je pense qu’il est utile de pouvoir refaire le point sur l’accouchement « à froid » avec la personne qui l’a accompagné, de pouvoir prendre un peu de recul et de poser les questions sur tout ce qu’on n’a pas bien compris/digéré sur le moment. On n’a pas toujours la présence d’esprit pour cela dans les jours qui suivent la naissance et c’est dommage de rester avec des choses en travers de la gorge, surtout si les choses ne se sont pas déroulées comme on le souhaitait. Si vous n’avez pas retenu le nom de la personne (sage-femme ou obstétricien) qui était de garde pour votre accouchement, il est marqué dans le carnet de santé à la page sur la naissance.
Image : c’est un peu hors saison mais je suis sûre qu’ils auraient aussi voulu rentrer chez eux fissa…
@pupuce, J’ai lu un peu en diagonale ton long comm, Pupuce 😳 , mais je rejoints Suzie dans ses remarques 😉
@pupuce et Suzie, d’accord avec toutes les deux…
@ Pupuce, clairement, on ne peut pas écarter la question du milieu social de nos aïeules, qui engendre cet écart ENORME entre leurs vécus (c’est intéressant en tout cas…) à des époques sans doute pas très lointaines (et qui rejaillit forcément sur nous quelques générations plus tard).
@ Suzie, je pense que les préoccupations de ces générations et les nôtres ne sont tout simplement pas les mêmes, il fallait sans doute avant tout se préoccuper de faire bouillir la marmite pour tout le monde (dans l’exemple de Pupuce peut-être?), être propre et bien élevé (« sage »=qui ferme sa gueule) pour donner une bonne image et avoir des résultats scolaires qui mettent en valeur les parents (peut-être encore souvent le cas 🙄 ) avant de se préoccuper d' »écoute active » 😉 .
En écho à ta dernière remarque: lors de sa dernière visite chez nous, ma grand-mère était soufflée de tout ce que ma fille mangeait… à 15 mois (comme moi en fait, je ne fais quasi-rien de différent). Son premier réflexe: « Non, elle ne va pas aimer, de mon temps on faisait ça… » et finalement, elle l’a regardé manger avec des yeux ronds. Tout comme ça, pour le bain, le sein (quand c’était encore d’actualité) etc. Et comme toi, elle m’a dit que c’était quand même plus simple aujourd’hui qu’à son époque!
@pupuce, je comprends ce que tu veux dire mais je ne partage pas ton sentiment. Sans vouloir nous mettre d’accord (car deux points de vue peuvent coexister avec bonheur non?!) moi, j’ai horreur que ma mère, que j’aime et que je respecte, me réponde, quand je n’applique pas un de ses conseils (donner de la viande à 4 mois ou taper sur les doigts pour ne plus recommencer par exemple) qu’ elle a fait comme ça avec nous et qu’on en est pas mort, et même qu’on a bien réussi. Tout cela pour dire que je crois que se sortir de l’héritage c’est aussi évoluer, pas forcément dans une meilleure direction mais évoluer. Et moi, j’ai pris confiance aussi (pas que) en me démarquant, en m’affirmant par rapport à ma mère.
Et quand cela ne lui plaît pas, je lui demande si elle nous a élevés comme sa mère à elle. Elle comprend alors.
Et puis où est la place du papa dans tout ça? A ressasser tout cela est une affaire de bonnes femmes, comment peuvent ils essayer de prendre une place? Le premier soutien que devrait recevoir une femme qui accouche c’est celui de son homme non?
@pupuce, il me semble que justement la « modernité » c’est de pouvoir prendre le meilleur de toutes ces pratiques ancestrales, de pouvoir les adapter à notre mode de vie et à nos besoins. Quant à la communauté de femmes qui se soutiennent et se transmettent, il me semble que c’est ce que reproduit internet avec les forums et les blogs ; l’inconvénient c’est qu’on ne se voit pas en vrai (et encore, cela peut déboucher sur des rencontres), l’avantage c’est qu’on se regroupe par affinités et par façons de voir les choses. Comme certaines l’ont souligné, on n’est pas plus avancée d’avoir des tas de femmes prêtes à transmettre dans son entourage si elles filent que des conseils/ordres qui ne nous correspondent pas.
On vit une époque formidable : celle du choix !
Pondre ou ne pas pondre, quand pondre, où pondre, couche lavable ou jetable, allaiter ou biberonner… etc
Perso j’adore cette idée de se carapater au plus vite de la mat’ (même pour un premier!!!) A la condition unique d’être parfaitement entourée par ses proches bien sûr…
Avec le recul, même avec une césarienne on m’aurait proposé de rentrer chez moi le lendemain, j’aurai foncé !!!! Sans arrêt dérangée ou oubliée (au choix!) avec des horaires absolument irréels, des questions sans réponse, des infrasutructures peu/pas (?) adaptées… J’aurai été tout aussi bien dans mon nid.
J’en profite pour faire une spéciale dédicace à mon Hom’ et ma mère qui ont été bien meilleurs que toute une équipe de professionnels pendant ce séjour à l’hopital
coucou la poule!
ici, la norme est de sortir 48h après accouchement si aucun souci particulier, même pour un premier, suivi aasuré ensuite à domicile par une infirmière de CLSC, même suivi que ce que fait la sage-femme en france.
Pour Nathan sortie 48h après, pour Enora, sortie 36h après, rien à négocier ici, ils savent qu’on est bien mieux à la maison! D’ailleurs ils pronent le 24h/24 avec les parents, personne ne vient prendre le bébé pour faire un obscur test, la pouponnière c’est vraiment en cas de grosse fatigue, sinlon ils insistent pour que le bébé reste collé aux parents et il est très mal vu que le papa ne dorme pas dans la chambre de la maman dans le lit prévu à cet effet.
Idem pour les hospitalisations pendant les grossesses. Ils limitent au minimum: ¸le placenta praevia pour Nathan, je suis restée 15 jours à l’hôpital, le temps que les saignements se syabilisent. Ensuite, comme nous sommes à 15 minutes de voiture de l’hôpital et à la condition que je me repose, j’ai pu sortir, on retournait à l’hôpital quand il y avait un changement.
Comme quoi les pratiques sont très différentes d’un pays à l’autre!
En tous cas tu m’impressionnes d’avoir le temps d’écrire sur ton blog
ah je rebondis sur le terme hygiène optimale des maternités de Leona, en général il faut rester le moins longtemps possible à l’hosto, ça limite beaucoup le risque de choper une maladie nosocomiale, genre staph doré résistant ou c diff. D’ailleurs, ici encore, quand on a séjourné plus de 2 jours dans un hosto dans les 3 dernières années, il y a dépistage automatique des deux bestioles citées précedemment parce que le risque est accru, c’est aussi pour ça qu.ils nous mettent dehors vite en l’absence de souci 😉
@chaponne, ah oui le Québec ça a l’air chouette… dommage que la météo soit si terrible et le vin si dégueu
J’ajoute un commentaire 10 ans après la guerre mais bon ! Pendant ma grossesse, j’avais un peu réfléchi au retour précoce à la maison, surtout que l’hôpital et moi ça fait 2 (j’ai déjà bien donné suite à de graves ennuis de santé il y a quelques années) et une copine l’avait fait et en était visiblement bien contente. Mais finalement ne sachant pas très bien comment ça s’organisait, je me suis dit qu’il fallait peut-être pas que je fasse trop la maline à vouloir sortir du rang. Je suis restée 3 jours à la maternité, pas non plus des jours et des jours mais j’étais vraiment très contente de rentrer chez moi. Je ne pas me plaindre de mon séjour, pas parfait mais pas pire. Mon chéri a passé de bonnes parties de nuit avec moi (à dormir sur le fauteuil en Skaï) mais les journées étaient longues toute seule. Dormir dans mon lit avec chéri, les câlins avec les chats, tout me manquait. En plus, je trouve que chez soi c’est plus facile de trouver ses marques. On a plein de trucs sous la main (mobile au dessus du lit, berceuses) et on peut gérer les situations de crise comme ça nous chante. En tous cas c’est maintenant clair que si 2e il y a et si tout se passe bien je ferai ça !
Dans la précipitation j’ai oublié ma question : j’ai souvent lu que le premier enfant était envoyé quelques jours chez les grands-parents (ou autre) à la naissance pour des raisons pratiques mais aussi pour le « préserver » alors comment ça se passe avec un retour précoce et pouss1 à la maison ? Les pleurs, les nuits folkloriques, etc., c’est pas trop dur pour un petit ?
@Catwoman, ici ce n’est pas Pouss1 qui est allé chez les grands-parents mais les grands-parents qui sont venus à lui (si tu ne viens pas à Lagardère…
). Nous sommes partis à la maternité pendant son sommeil (je l’avais prévenu en le couchant que c’était une possibilité) et rentrés dans la journée du lendemain, la grand-mère s’est vite éclipsée et nous sommes restés à 4 sans que ça pose de problème particulier. De toute façon les nuits folklo ça dure bien plus que le séjour à la maternité en général 
Enfin nous avons choisi la solution du retour précoce en partie pour ne pas mettre Pouss1 à l’écart justement et que la famille reste ensemble.
@La poule pondeuse, pas faux de dire que ça dure quelques jours (semaines) de plus que le séjour à la maternité mais franchement à ce moment là je me suis demandé comment les gens arrivaient à gérer avec un premier enfant (ils ont des super pouvoirs ou bien ?). Déjà on se demandait sérieusement comment les gens pouvaient avoir l’idée folle de remettre ça avec un 2e 😯 Maintenant je me dis qu’on doit être plus cool au 2e et que ça doit aider…
@Catwoman, pour être honnête j’ai été moins paniquée à gérer les 2 à l’arrivée de Pouss2 que je ne l’étais avec Pouss1 tout seul. Bon Pouss2 est super cool aussi, et il n’a à peu près jamais de chagrin qu’on ne puisse calmer avec une tétée. Ce que je trouve le + dur après presque 5 mois c’est le sommeil haché, tu peux être SURE qu’il y a toujours un des deux pour t’empêcher de faire une vraie bonne nuit sans aucune interruption.
@La poule pondeuse, EXACTEMENT pareil ici (retour précoce et tout) ! A part que petit deuxième est moins téteur de fond que son frère, mais pour les cas graves, on a l’objet magique : le hamac Baby Jojo (on dit yoyo) ! Je le balance à l’instant même
Et les nuits hâchées, il parait que ça s’arrange quand ils prennent leur propre appartement…
@Grozouille, 😀
@Catwoman, nous aussi, si on est rentré dès le lendemain, c’était aussi pour être avec les grands. Les 1ères nuits, on a même dormi tous les 5 ensemble dans notre chambre, c’était un moment fort!
@Catwoman, non seulement on est plus cool avec un 2eme (enfin, pour mon cas), mais en plus c’est très faisable… avec une écharpe!
@Grozouille, et si c’est moi qui prend mon appartement ?
@dafodil, waouh 😀
@La poule pondeuse, on l’a fait seulement 2 nuits, hein 😉
Mais c’était important pour les grands, d’autant plus, je crois, que nous sommes une famille recomposée
@La poule pondeuse, je ne peux qu’approuver, hélas 🙁 La première se réveille parce qu’elle a fait un cauchemar (à 1h30 du matin…), la seconde se réveille parce que sa couche est pleine ou qu’elle a faim (à 5h30…). Dire que les nuits sont hachées est un euphémisme ! 👿 Et elles ont chacune leur chambre.
@La poule pondeuse et @dafodil, c’est vrai que je n’en suis pas encore là mais ça rassure quand même ce que vous dites 😀 Pour ce qui est des nuits hachées, on a été à bonne école avec les chats cet hiver : quand c’était pas la pitoune, c’était un des chats qui voulait sortir ou rentrer (et évidemment jamais les 2 en même temps hein ?)
Mais je crois que ça devient une habitude (souvent maintenant je me réveille même quand elle dort 🙄 ). Enfin il vaut mieux s’y faire si je comprends on n’est pas sorti de l’auberge. M’enfin là en congé parental ça va mais après avec le boulot je sens qu’il va falloir investir dans l’anticerne 😎
@Grozouille, je connaissais pas le hamac baby jojo mais ça a l’air pas mal ce truc là !
@Catwoman, ah oui c’est duuuuuuuur les journées de boulot quand on a pas dormi, mais c’est duuuuur aussi en congé parental avec un grand qui te demande de l’énergie en permanence 😉
Enfin bon si autant de gens ont deux enfants (voire plus) c’est que c’est faisable non ?
[…] Moyenne de 4 à 5 jours, le bébé est vu par le pédiatre avant la sortie. Rien de systématique de retour à la maison chez soi, sauf si on en fait la demande lors d’un retour précoce par exemple. […]