Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste la Gastro (puisqu’il faut l’appeler par son nom)
Capable d’enrichir en un jour l’Achéron les égouts
Faisait aux animaux au poulailler la guerre.
Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés.
On n’en voyait point d’occupés
A chercher le soutien d’une mourante vie ;
Nul mets n’excitait leur envie
(etc etc, voir http://poesie.webnet.fr/poemes/France/lafontai/8.html pour la suite)
Bon dès qu’on a trouvé un baudet sur lequel faire haro je reviens.