A l’occasion du centenaire de la célèbre psychanalyste (et aussi des 20 ans de sa mort), Libé lui consacre un dossier, avec notamment :
Dolto a-t-elle tout faux ? (OUI avec Didier Pleux, NON avec Daniel Olivier)
Question doltorité (un portrait de Claude Halmos)
A partir d’un de ces articles, vous pourrez facilement accéder à l’ensemble du dossier. Dans ces (plus modestes) colonnes, nous avons déjà abordé l’héritage de Dolto ici. Personnellement je n’ai ni lu ni écouté ni vu aucunes des oeuvres de l’héroïne du jour, mais les habitués de la basse-cour ne seront probablement pas surpris de savoir que ce n’est pas ici qu’on vouera aux gémonies la personne qui a imposé aux Français l’idée que le bébé est une personne, celle qui a lancé les Maisons vertes. Il est très probable que si je fouille dans son oeuvre je trouverai ici ou là quelque chose qui me hérissera le poil (au sens figuré bien sûr, je suis une femme parfaite et dénuée de poils), du style le jargon psychanalytique des mammelles péniennes ou un truc tordu du genre. Il semble aussi que son message n’est pas toujours bien passé, et a pu conduire à certaines dérives (notamment la confusion entre respect de l’enfant et laisser-faire total). Mais tout ça ne m’empêche pas de dire ici « Merci Françoise ! ».
(Photo : http://www.dolto.fr/)